Biofinity Energys™

Les Biofinity Energys® sont des lentilles de contact mensuelles conçues pour lutter contre la fatigue et la sécheresse oculaires associées à l’utilisation quotidienne de d’écrans1,2

Biofinity® : L’innovation au service du confort

L’utilisation d’écrans pendant plus de deux heures par jour vous expose à un risque de fatigue et de sécheresse oculaires3

La conception de la lentille Digital Zone Optics™ aide à réduire la sensation de fatigue oculaire1

La technologie Aquaform® retient l’eau pour aider à réduire la sécheresse oculaire2

Haute oxygénation : permet à 100 % de l’oxygène d’atteindre vos yeux4 pour qu’ils restent blancs et sains**

Les caractéristiques que vous allez adorer

Une avancée technologique en lentilles de contact

La technologie Digital Zone Optics™ aide à réduire la sensation de fatigue oculaire, pour que vos yeux puissent passer plus facilement de la vision sur écrans à la vision hors écrans

Hydratées naturellement, grâce à la technologie Aquaform®, pour une expérience de port de lentilles confortable

Vous ne savez pas quelles lentilles de contact vous conviennent le mieux ?

Répondez à ce questionnaire de quatre questions pour découvrir les produits qui répondent le mieux à vos besoins.

Trouver vos lentilles de contact

** La haute transmissibilité d’oxygène favorise des yeux clairs et blancs.  

Références :

1. Kajita M, Muraoka T, Orsborn G. Change in accommodative micro-fluctuations after wearing contact lenses of different desgins. Cont Lens Anterior Eye. 2020 in press https://doi.org/10.1016/j.clae.2020.03.003

2. CooperVision data on file. 2006. Aquaform® Technology uses a matrix of long silicone chains with hydrogen bonds to lock water molecules in the lens for incredible, long-lasting comfort and clarity.

3. The Vision Council. Hindsight is 20/20/20: protect your eyes from digital devices: 2015 digital eye strain report.

4. Brennan, NA. Beyond Flux: Total Corneal Oxygen Consumption as an Index of Corneal Oxygenation During Contact Lens Wear. Optom Vis Sci. 2005;82(6):467–472